Projets retenus suite à l’appel à projets de novembre 2023
Source : https://fondation-sommer.lu/projets-retenus-suite-a-lappel-a-projets-de-novembre-2023/
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La pomme esprit kintsugi ArT’huy représente l’acceptation, la résilience et la reconstruction. Le kintsugi style ArT’huy c’est tout un univers de belles choses. Toutefois, la pomme ArT’huy se présente comme une création symbolique. Dans mon parcours artistique, je me suis laissée inspirer par une fusion entre deux mondes : celui de la pomme, ce fruit universel, et celui du Kintsugi, un art japonais de la réparation symbolique. C’est ainsi que sont nées les Pommes Esprit Kintsugi ArT’huy, bien plus que de simples fruits, elles incarnent une profonde symbolique de résilience et de transformation. Cet engagement créatif trouve ses racines dans la philosophie du Kintsugi. Cet art répare les objets brisés en utilisant de la laque mélangée et de la poudre d’or transformant les fissures en lignes précieuses qui révèlent l’histoire de chaque pièce. De même, mes Pommes ArT’huy sont nées de cette réflexion sur la résilience et la beauté émergeant des cicatrices de la vie. Guidée par cette philosophie, j’ai choisi la pomme comme toile pour exprimer cette idée. Ce fruit, souvent associé à la tentation ou à la connaissance, est devenu pour moi un symbole riche en significations. Chaque pomme dispose de sa singularité, de ses imperfections et de ses blessures. Ces marques, loin d’être dissimulées, sont sublimées à travers un processus artistique méticuleux. Voici un petit résumé en vidéo : Le résultat? Des Pommes kintsugi ArT’huy, où chaque entaille est comblée ou pas, formant un réseau de lignes brillantes qui racontent l’histoire de chaque pomme. Ces lignes dorées, à la fois fragiles et résilientes, incarnent la beauté née de la transformation et du dépassement des épreuves. Cette création va bien au-delà de son aspect visuel. Elle incarne la philosophie du Kintsugi : la valeur de la résilience, la célébration des cicatrices comme témoignages d’expériences vécues et la transformation des douleurs en beauté. Chaque Pomme ArT’huy devient ainsi un symbole tangible de force intérieure et de réparation. En donnant vie à ces œuvres empreintes de symbolisme, je fusionne l’esthétique avec une profondeur émotionnelle, offrant ainsi à ceux qui les contemplent une expérience sensorielle et spirituelle. Mes Pommes ArT’huy vont bien au-delà de leur simple nature de fruits pour devenir des porteurs de récits, des icônes de résilience et des invitations à méditer sur la beauté des cicatrices dans nos vies. Ainsi, de cette union inattendue entre la philosophie ancienne du Kintsugi et l’humble pomme, émerge une œuvre artistique éloquente, un témoignage vibrant de la force intérieure et de la beauté inattendue qui émanent de nos moments les plus fragiles et réparés. Les pommes sont en vente. À visiter au 21 rue Saint Ulric 2651 Luxembourg. N’hésitez pas à me contacter pour plus d’informations.
Je propose des formations de Kintsugi au Luxembourg pour les personnes qui voudraient s’initier à cette pratique artistique unique au monde. N’hésitez pas à me contacter pour vous inscrire. Je vous dit tout sur cette formation dans cet article : Apprenez l’art du kintsugi et sa philosophie. Chaque pièce est unique, car chaque pièce se brise de manière différente et crée des motifs irréguliers. Ajoutez à cela une touche différente de chaque artiste. Vous l’aurez compris, le Kintsugi c’est tout un univers ! Dans cet atelier vous apprendrez à réparer des pièces en céramique ou porcelaine avec cette technique ancestrale japonaise. Nous allons toutefois travailler avec des matériaux de qualité pour un résultat optimal et durable sans perdre l’esprit original du kintsugi. C’est un long processus qui demande du temps avec un taux d’humidité et une température à respecter. La restauration de céramique par le kintsugi peut durer des mois même sur un seul objet et c’est tout un savoir. Cet atelier a aussi pour objectif de partager un travail émotionnel pour faciliter les processus personnels de transformation, montrant nos fragilités et nos imperfections. L’idée est de comprendre qu’il faut être imparfait pour être heureux et être ouvert pour parler d’émotions et non pas penser que les émotions n’ont pas leur place dans la société. Aucune expérience préalable n’est nécessaire ! Même si vous n’avez jamais travaillé la céramique, nous vous expliquons comment le faire étape par étape dans notre formation kintsugi. Matériaux et outils nécessaires : Processus PréparationNettoyage : Assurez-vous que les morceaux de céramique sont propres et secs.Assemblage : Réunissez les morceaux cassés pour avoir une idée de la façon dont l’objet se reconstitue. Utilisez du scotch pour maintenir les morceaux en place. Réparation Application de la laque : création de la colle avec une base de laque japonaise. Appliquez la laque le long des fissures. Laissez sécher pendant plusieurs jours (5 à 7 jours suivant température). Nettoyage et ponçage Comblement : création du sabi urushi pour créer le comblement ou petit morceau manquant. Puis séchage sur plusieurs jours. Puis nettoyage et ponçage. Application de la laque noire: qui permet de rendre plus étanche et aussi faire une finition noire Polissage : Après que la laque ait durci, polissez doucement la surface pour enlever l’excès de poudre et pour lisser les jointures. Finition : Si nécessaire, appliquez une autre couche de laque pour sceller. Polissez à nouveau après séchage. Finalisation : Une fois que la réparation est terminée, l’objet réparé aura des lignes dorées, argentées ou métalliques qui mettent en valeur les cicatrices de la cassure, faisant ainsi partie intégrante de son esthétique. Il est essentiel de se rappeler que le processus Kintsugi demande de la patience et de la précision. Cette technique transcende la simple réparation pour embrasser la philosophie du wabi-sabi, célébrant la beauté des imperfections et la valeur de la transformation. Cette technique est également plus coûteuse ( prix du matériel, des laques ) mais il y a aussi les gants, les manchons etc
Le Kintsugi est une philosophie au Japon et de plus en plus en Europe. À la surface, le Kintsugi est une pratique qui permet de réparer une poterie cassée afin qu’elle soit à nouveau fonctionnelle. Mais les réparations ne s’arrêtent pas juste au niveau fonctionnel. Le Kintsugi a de nombreuses leçons de vie pour ceux et celles qui portent attention. Selon la tradition Kintsugi, lorsque l’on comble une fissure, il faut utiliser des matériaux de meilleure qualité, parfois de l’or et de l’argent, pour combler le vide. Le Kintsugi symbolise l’art de la réparation de la céramique d’une part mais présente aussi une méthode de guérison des blessures émotionnelles. Comme les lignes dorées qui traversent les vases et céramiques, nos blessures, traumas et autres erreurs de vie peuvent être réparés – et de la plus belle des manières. Quand on répare nos blessures avec la philosophie du Kintsugi, nous évoluons en tant que personne. Cette réparation devient une partie forte et belle de qui nous sommes. Ce que j’aime le mieux avec le Kintsugi c’est que cela m’aide à accepter toutes mes imperfections. Parfois, on ne se rend pas compte de tout ce que la vie nous a fait traverser. On a tendance a pardonner a tout le monde mais pas nous même. Être conscient de mes imperfections est un des plus beaux cadeaux que le Kintsugi m’a donné. La prochaine phase c’est de réaliser qu’il est normal que les choses ne soient pas parfaites et qu’au lieu de traiter les imperfections comme des imperfections, vous les considérez comme un chapitre de votre passé. Cela permet d’apprécier la façon dont les choses se sont passées au lieu d’apitoyer sur nos erreurs du passé. Le domaine du bien-être et de la psychologie considère la forme d’art du Kintsugi comme une métaphore de la croissance personnelle. Par exemple, le livre de Céline Santini, Kintsugi – L’art de la résilience, souligne comment la philosophie Kintsugi ouvre la voie à la guérison. Explorez le pouvoir transformateur du Kintsugi, une ancienne forme d’art japonais alliant compétences et développement personnel a travers mes ateliers découvertes pour individuels et groupes.
Le Kintsugi est une méthode de réparation japonaise unique dans laquelle des céramiques cassées ou ébréchées sont collées ensemble à l’aide de laque et décorées avec de la poudre d’or. Cette technique possède un côté philosophique qu’on peut appliquer dans notre vie de tous les jours. Alors pourquoi ne pas réparer nos erreurs ou blessures de la meilleure manière qui soit ? Le Kintsugi a un charme particulier : pour moi le fait d’utiliser de la poudre d’or et d’argent pour décorer les parties endommagées ajoute à la beauté de chaque objet. Le Kintsugi incarne l’esprit japonais du « mottainai », qui valorise et chérit les choses.. Lorsque de la céramique ou de la verrerie se brise, la méthode occidentale consiste à la jeter et à en acheter une nouvelle. Au Japon, il y a le Kintsugi. Le Kintsugi est très apprécié par de nombreuses personnes en raison de son attrait artistique et historique, et sa popularité en Europe et au Luxembourg augmente également. La technique du kintsugi a été créée pour prendre soin des choses et les utiliser plus longtemps. En appliquant de belles lignes dorées sur les fissures, le récipient renaît en un récipient unique et unique au charme nouveau. Puisque nous vivons à une époque remplie de tant de choses, pourquoi ne pas découvrir l’esprit japonais du Kintsugi ? Je vous invite à découvrir mon prochain atelier Kintsugi au Luxembourg ici. Dernièrement, je m en inspire pour créer des objets uniques. Pour cela, je les casses pour créer quelques choses de plus différents. Je pars alors sur des méthodes simplifiées comme je le présente lors de mes séances de découverte. Je crois que la beauté réside dans l’imperfection. N’hésitez pas à me contacter pour toutes demandes d’informations.
Nous avons le plaisir de vous présenter une collaboration unique entre un chocolatier et deux artistes talentueuses Luxembourgeois. Cette alliance inédite allie l’art et la gourmandise pour créer une expérience sensorielle exquise. D’un côté de Gabriel Mjamed qui apporte son savoir-faire et son expertise en matière de chocolaterie. Reconnu pour ses créations artisanales haut de gamme et sa passion pour les saveurs raffinées, le chocolatier incarne l’excellence dans son domaine. De l’autre côté, les deux artistes Ramona et Thuy apportent leurs talents artistiques uniques. Elles sont connus pour leur créativité débordante, leur vision artistique novatrice et leur capacité à susciter des émotions à travers leurs œuvres. La collaboration entre le chocolatier et les artistes repose sur l’idée de fusionner ces deux univers distincts pour créer quelque chose de totalement nouveau et captivant. Les artistes ont été inspirées par les saveurs et les textures des chocolats du maître chocolatier, tandis que ce dernier a puisé dans les formes, les couleurs et les histoires racontées par les artistes pour créer des créations chocolatées uniques. L’objectif de cette collaboration est de proposer aux amateurs d’art et de chocolat une expérience immersive où la délicatesse des créations artistiques se marie harmonieusement avec l’exquisse des chocolats. Le résultat est une collection limitée de chocolats ornés de motifs et de décors inspirés des œuvres des artistes, créant ainsi un mariage parfait entre la gourmandise et l’esthétisme. Pour finir, cette collaboration entre un chocolatier et deux artistes offre une opportunité unique de vivre une expérience gustative et artistique exceptionnelle. Nous vous invitons à nous rejoindre pour découvrir cette collection spéciale, disponible pour une durée limitée. C’est une occasion de se laisser emporter dans un monde où l’art et la gourmandise fusionnent pour émerveiller tous vos sens. Exposition du 15 septembre à fin décembre.
ArT’huy continue d’innover ! Aujourd’hui je vous propose quelque chose de différent et accessible. La location de mon art au Luxembourg. Intéressant ? Vous souhaitez en savoir plus ? Je vous donne tous les détails dans cet article. Si vous souhaitez acheter mes œuvres, c’est toujours possible. Mais désormais il est aussi possible de louer mes œuvres. C’est une solution alternative à l’achat d’œuvres d’art qui comporte beaucoup d’avantages. En voici quelques uns : Comme son nom l’indique, la location d’œuvre d’art revient a beaucoup moins cher que d’en acheter. Comme chaque œuvre a une âme et un prix, il peut être plus judicieux et économique de louer une œuvre avant de l’acheter. La location d’œuvres d’art est aussi une option très pratique pour les hôtels, restaurants et d’autres lieux qui changent constamment de décoration intérieure. Même à la maison, si vous changez souvent ou au fil des saisons votre décoration, il peut être intéressant de choisir la location au lieu de l’achat. Si vous avez un thème spécifique pour une occasion ou un événement, je pense bien avoir ce qu’il vous faut. C’est tout à fait compréhensible que vous ne voullez pas acheter une œuvre pour l’utiliser que pour quelques jours. Là aussi, la location d’œuvres d’art devient très pratique. Chaque bureau, entreprise, école ou autre établissement a ses habitudes. Mais, il est bien connu que les Luxembourgeois aiment bien changer de décoration/couleur chaque année. Alors pourquoi acheter une œuvre si vous allez le changer dans un an, c’est mieux de le louer. Comment louer une œuvre d’art Ar Thuy? C’est simple. Il vous suffit de prendre contact avec moi et de me dire quelle œuvre vous intéresse. Quel est le prix pour louer une œuvre? Le prix dépend de l’œuvre en question bien sûr, mais aussi de la durée que vous souhaitez louer. Plus vous louez, moins ça coûte. Quelles sont les formalités pour louer une œuvre? La aussi, c’est très simple. Vous aurez un contrat avec toutes les clauses et conditions qu’il faudra bien sûr respecter.
Les femmes investissant dans les cryptomonnaies adoptent une gestion prudente.(Photo : pexels) La dernière version du « Retail Investor Beat » de la plateforme eToro révèle que les femmes investissent de plus en plus dans les monnaies virtuelles. La part des investisseuses misant sur les cryptos est passé de 36 à 39 % entre le troisième et le quatrième trimestre de l’année 2022. Les Bitcoins et autres Solana sont la deuxième classe d’actifs la plus détenue par les femmes après l’argent liquide. Et au Grand-Duché, qu’en est-il ? Ecorama Luxembourg a interrogé quatre femmes, d’âges et de profils différents. Autant d’expériences et de points de vue sur un investissement qui a encore mauvaise presse. « Mon aventure crypto a commencé en septembre 2021 », confie Léa Gobert. La résidente française de 32 ans raconte que son petit-frère, qui avait investi depuis près de 7 mois dans les monnaies virtuelles, lui avait offert un Ledger (une sorte de clé qui permet de stocker sa monnaie virtuelle hors ligne) « en cadeau pré-Noël ». A l’époque, « je ne savais pas que c’était » ni « à quoi ça servait, on a pas mal discuté de cela », dit-elle. Quelques semaines après, elle se lance dans l’achat d’Ethereum et de Bitcoins. Au moment où elle l’a fait, Léa était dans une optique de diversification. « J’avais déjà quelques biens immobiliers. Au lieu de laisser l’argent dormir à la banque », elle voulait l’investir intelligemment sur une « technologie de demain ». Pour elle, l’avenir des transactions financières, de l’échange de valeurs sera « en bonne partie, en tout cas » sur la blockchain. « C’est très prometteur. Je prends part à une évolution technologique. D’un point de vue personnel, c’est très excitant », affirme-t-elle. Léa a adopté une stratégie « HODL ». Comprenez : un investissement à long terme. De la prudence donc, pas de risques inutiles. « J’en rachète dès que ça baisse », ajoute-t-elle. Se positionnant pour une régulation afin d’« éviter les scams (cyber-arnaques ) », elle pense que mettre ses billes dans les monnaies impalpables peut « fortement contribuer » à l’indépendance financière des femmes. « S’il y a une vraie connaissance du sujet », les cryptomonnaies peuvent être plus intéressantes que les placements traditionnels. « Plus les femmes investissent dans ce type de cryptos, plus cela peut promouvoir la diversité et l’inclusion », souligne-t-elle. En sachant que ce milieu et celui de la FinTech est très masculin. Outre le fait d’avoir été initiée par son petit-frère, la jeune femme qui travaille dans le domaine du marketing a lu « des livres intéressants » sur le sujet. L’éducation est la clé pour comprendre le fonctionnement d’une monnaie encore mal connue. Bâtir une communauté de femmes dans l’espace crypto est, selon Léa, « un très bon moyen de libérer la parole ». Créer une communauté de confiance aussi ouverte aux hommes permettrait d’avoir « plus de légitimité dans la sphère masculine ». Attention à la variation des cours Figure incontournable dans le paysage IT au Luxembourg, Marina Andrieu, co-fondatrice et directrice de l’initiative Women in Digital Empowerment (WIDE) avait déjà fait une première tentative d’investissement il y a quelques années. Finalement, c’est en 2022 qu’elle a réussi. Après avoir passé le cap de la « due diligence », elle a commencé par acheter de l’Ethereum « en me fixant un prix psychologique de 1.500 euros par Ether. J’ai attendu que ça descende sous ce chiffre », annonce-t-elle. « A chaque fois que je me suis fixé un prix, j’ai acheté à celui que j’ai visé ». Ayant « beaucoup suivi les fluctuations du marché », Marina a investi sur deux plateformes avec une application mobile. Elle dit avoir atteint ses objectifs d’investissement. Aujourd’hui, elle possède toujours ses Ether qui ont pris 20 % sur un an. « Ce qui est supérieur à la bourse et au livret d’épargne », remarque-t-elle. Sa leçon d’investisseuse ? Ne pas se laisser happer par les variations des cours. D’après elle, les cryptomonnaies sont une manière de diversifier ses investissements. « Cela permet de s’éduquer à prendre des risques dans une proportion modérée ». Compter là-dessus pour en faire une source de revenus complémentaire ou arrêter de travailler n’est pas une option sûre. De la monnaie virtuelle dans sa stratégie d’investissement oui. Mais à petite dose. De son côté, Thuy Gattaux, alias ArtT’huy, est venue « naturellement » aux cryptomonnaies. Avant de se lancer, l’artiste-peintre de 40 ans, entendait beaucoup parler des NFT. Elle a même écrit un article sur le sujet qui a été publié sur son blog. Elle y a partagé son expérience mêlant l’art et les jetons non-fongibles. « A partir d’un tableau, j’ai créé un NFT. J’ai expliqué pour comprendre le processus. A partir de là, j’ai été contactée par une grande entreprise au Grand-Duché qui m’a demandé de participer à une action solidaire pour l’association ukrainienne du Luxembourg. Ils voulaient organiser une vente aux enchères d’une œuvre physique et de son NFT », se souvient-elle. Par hasard, « ils ont trouvé une œuvre aux couleurs de l’Ukraine dans ma galerie ». En trois jours, l’artiste a créé le jeton non-fongible sur la fameuse plateforme OpenSea. C’est aussi le temps qu’elle a eu pour se constituer son porte-feuille. « Je me suis renseignée sur le Net. Quelqu’un m’a parlé d’OpenSea et je me suis lancée », raconte-elle. « Si c’est imposé, les femmes le feront » Comme les autres femmes interrogées dans cet article, elle a investi dans l’Ethereum. « Ce que j’ai trouvé épatant dans la blockchain, c’est de voir les transactions », dit-elle. Grâce à cette « belle expérience », elle a compris davantage la création des NFT et des cryptomonnaies. Bien sûr, ArtT’huy a eu d’autres monnaies dans son wallet mais les a revendues depuis. Cette expérience lui a aussi donné la possibilité de monter sa galerie virtuelle. Aujourd’hui, elle en a même deux ! Si elle a misé sur l’Ether, c’est parce qu’elle n’avait pas confiance dans le Bitcoin. Elle soutient avoir eu une opportunité pour investir et de « vivre une expérience dans le monde où l’on est ». Etre active dans le monde de la crypto est, d’une certaine manière, une façon d’entrer dans le Metaverse. ArtT’huy pense que les femmes ne prennent pas de risques. « Si c’est imposé par un gouvernement alors elles le feront ». Car s’il n’y a pas d’alternative, « on n’a pas le choix ». On y va. L’artiste est favorable à la
Dans le vaste monde de l’art, de nombreuses influences et inspirations peuvent guider notre créativité. L’une d’entre elles, d’une beauté et d’une élégance incomparables, est le Kintsugi. Cette ancienne technique japonaise de réparation des objets brisés a le pouvoir de transformer les cicatrices en des éléments visuels fascinants. Dans cet article, nous explorerons comment nous pouvons créer de l’art en puisant dans l’élégance du Kintsugi et en utilisant ses principes pour façonner des œuvres uniques et significatives. 1. Trouver la beauté dans les brisures Le Kintsugi nous enseigne que les brisures et les fissures ne sont pas des défauts, mais des éléments qui ajoutent de la profondeur et de la beauté à un objet. En tant qu’artistes, nous pouvons chercher à incorporer cette philosophie dans notre processus de création. En observant les imperfections de nos matériaux et en les rassemblant, nous pouvons créer des pièces d’art qui racontent une histoire de résilience et de transformation. 2. Mettre en valeur les cicatrices La technique du Kintsugi consiste à souligner les fissures avec de la laque mélangée à de la poudre métallique, créant ainsi des lignes dorées ou argentées qui traversent l’objet. En appliquant cette méthode à notre propre art, nous pouvons mettre en valeur les cicatrices de manière esthétiquement agréable. Cela peut être fait en utilisant des techniques telles que le dessin, la peinture ou même la sculpture pour souligner les marques de fragilité et de réparation. 3. Jouer avec la dualité entre l’ancien et le nouveau Le Kintsugi crée une juxtaposition saisissante entre les parties anciennes et réparées d’un objet. En utilisant cette dualité comme source d’inspiration, nous pouvons expérimenter avec des matériaux contrastant, des textures variées et des combinaisons audacieuses. Cela peut donner naissance à des œuvres qui représentent une fusion harmonieuse entre le passé et le présent, tout en reflétant notre propre voyage personnel. 4. Utiliser des matériaux précieux Le Kintsugi utilise traditionnellement des matériaux précieux tels que l’or, l’argent ou le cuivre pour souligner les fissures. De la même manière, nous pouvons intégrer ces matériaux précieux dans nos créations artistiques. Que ce soit en utilisant des feuilles d’or pour illuminer une peinture ou en intégrant des fils d’argent dans une sculpture, l’incorporation de ces éléments ajoute une touche de raffinement et de valeur symbolique à nos œuvres. 5. Transmettre un message de résilience et de beauté L’une des forces du Kintsugi réside dans sa capacité à transmettre un message profond de résilience et de beauté trouvée dans les moments difficiles. En utilisant cette technique dans notre art, nous pouvons créer des œuvres qui inspirent et qui résonnent avec les spectateurs. Vous avez compris, le kintsugi est une de mes nouvelles sources d’inspiration. N’hésitez pas à me contacter pour plus d’informations.
L’art est une discipline incomparable. L’art affecte nos vies. L’art raconte des histoires que les mots ne pourraient décrire. Pourquoi certaines musiques déclenchent-elles la « chair de poule » sur la peau. Des larmes sur ses joues en regardant une scène d’un film ? Personne ne peut donner une réponse exacte à ces questions. Ce que nous savons c’est que l’art est capable d’éveiller des sentiments les plus profonds. En tant qu’artiste, l’art nous permet de nous exprimer. Chaque œuvre, chanson, ou tableau porte un message. L’art est une discipline ou un résultat d’expression dans des manifestations artistiques, ainsi qu’une coexistence créative qui transmet certains sentiments et émotions ressentis à un moment donné. L’art est multiple. Il est capable de transmettre l’expérience d’une personne et même l’humeur de l’artiste au moment de la création. Le pouvoir de l’art réside principalement dans son effet sur le monde intérieur d’un être humain. Une image peut provoquer beaucoup d’émotions et d’impressions mais aussi être complètement contradictoires. Les tableaux ont un effet remarquable sur le monde intérieur d’une personne, elles sont capables de pénétrer dans les coins les plus cachés de l’esprit et de semer les graines de vraies valeurs. De plus, en créant une œuvre d’art unique, les artistes expriment leurs sentiments et partagent leur vision de la réalité avec le monde. L’art est une sorte de reflet de la vraie nature de l’homme. Si vous vous attardez sur mes tableaux, vous verrez que chacune d’elle représente un moment, un sentiment et une histoire. Oeuvre disponible prochainement ici : https://www.dudelange.lu/index.php/evenement/marche-alternatif-5/