kulturama artiste luxembourg
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ArT’huy officiellement artiste Kulturama

ArT’huy officiellement artiste Kulturama Méthode ArThuy Portfolio Transmettre l’art du Kintsugi comme chemin de résilience Une artiste engagée dans la transformation Artiste peintre formée à la technique japonaise ancestrale du Kintsugi, Thuy Gattaux ne se contente pas de restaurer la céramique brisée : elle répare, symboliquement, les failles de l’être. Elle a puisé dans cet art une philosophie de reconstruction, pour en faire un outil de développement personnel profond. Une méthode entre art, résilience et transmission Inspirée par le Kintsugi, Thuy a développé une approche unique, mêlant création artistique, conscience de soi et accompagnement thérapeutique. Chaque fissure, loin d’être cachée, est soulignée d’or, dans un geste symbolique fort : la blessure devient beauté. Ses trois mots-clés : reconstruction, acceptation, résilience. Elle transmet, avec cette méthode, une vision puissante : Ce qui a été brisé peut devenir encore plus beau, si on ose lui redonner vie. Ateliers pour enfants et adultes au Luxembourg Thuy propose des interventions artistiques et symboliques : Pour les enfants dès 7 ans : afin de les aider à renforcer leur confiance en eux, à comprendre que l’imperfection n’est pas un défaut, mais une singularité. Pour les adultes en quête de sens ou de reconstruction : après un choc de vie, une période de transition ou un besoin de se reconnecter à soi. Elle intervient dans le sud et le centre du Luxembourg, et collabore avec des écoles, notamment pour proposer ses ateliers à des enfants réfugiés ou en situation particulière (ex : enfants ukrainiens). Un projet peut être monté en lien avec les enseignants et les institutions partenaires. L’art comme vecteur de transformation À travers chaque atelier, l’objectif est clair : transformer une pièce brisée en œuvre d’art. Ce geste concret devient un acte symbolique de résilience. L’acte de recoller, de souligner la faille, devient un apprentissage de soi. Chaque participant repart avec une œuvre unique, mais surtout, avec une nouvelle manière de regarder ses propres cicatrices. Informations pratiques Langue : uniquement en français Lieux : interventions dans les établissements du Luxembourg (sud et centre) Public : enfants à partir de 7 ans, adolescents, adultes Approche personnalisée selon le contexte de l’école, de la structure ou de l’accompagnement individuel Chaque atelier commence par un échange. Discutons ensemble pour voir si cela vous correspond. ➡️ Prendre rendez-vous dès maintenant https://www.youtube.com/watch?v=nCKGOwOzhpM Source : https://www.kulturama.lu/fr/artistes/thuy-gattaux

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« Les cryptomonnaies permettent de vivre une expérience dans le monde d’aujourd’hui»

Les femmes investissant dans les cryptomonnaies adoptent une gestion prudente.(Photo : pexels) La dernière version du « Retail Investor Beat » de la plateforme eToro révèle que les femmes investissent de plus en plus dans les monnaies virtuelles. La part des investisseuses misant sur les cryptos est passé de 36 à 39 % entre le troisième et le quatrième trimestre de l’année 2022. Les Bitcoins et autres Solana sont la deuxième classe d’actifs la plus détenue par les femmes après l’argent liquide. Et au Grand-Duché, qu’en est-il ? Ecorama Luxembourg a interrogé quatre femmes, d’âges et de profils différents. Autant d’expériences et de points de vue sur un investissement qui a encore mauvaise presse. « Mon aventure crypto a commencé en septembre 2021 », confie Léa Gobert. La résidente française de 32 ans raconte que son petit-frère, qui avait investi depuis près de 7 mois dans les monnaies virtuelles, lui avait offert un Ledger (une sorte de clé qui permet de stocker sa monnaie virtuelle hors ligne) « en cadeau pré-Noël ». A l’époque, « je ne savais pas que c’était » ni « à quoi ça servait, on a pas mal discuté de cela », dit-elle. Quelques semaines après, elle se lance dans l’achat d’Ethereum et de Bitcoins. Au moment où elle l’a fait, Léa était dans une optique de diversification. « J’avais déjà quelques biens immobiliers. Au lieu de laisser l’argent dormir à la banque », elle voulait l’investir intelligemment sur une « technologie de demain ». Pour elle, l’avenir des transactions financières, de l’échange de valeurs sera « en bonne partie, en tout cas » sur la blockchain. « C’est très prometteur. Je prends part à une évolution technologique. D’un point de vue personnel, c’est très excitant », affirme-t-elle. Léa a adopté une stratégie « HODL ». Comprenez : un investissement à long terme. De la prudence donc, pas de risques inutiles. « J’en rachète dès que ça baisse », ajoute-t-elle. Se positionnant pour une régulation afin d’« éviter les scams (cyber-arnaques ) », elle pense que mettre ses billes dans les monnaies impalpables peut « fortement contribuer » à l’indépendance financière des femmes. « S’il y a une vraie connaissance du sujet », les cryptomonnaies peuvent être plus intéressantes que les placements traditionnels. « Plus les femmes investissent dans ce type de cryptos, plus cela peut promouvoir la diversité et l’inclusion », souligne-t-elle. En sachant que ce milieu et celui de la FinTech est très masculin. Outre le fait d’avoir été initiée par son petit-frère, la jeune femme qui travaille dans le domaine du marketing a lu « des livres intéressants » sur le sujet. L’éducation est la clé pour comprendre le fonctionnement d’une monnaie encore mal connue. Bâtir une communauté de femmes dans l’espace crypto est, selon Léa, « un très bon moyen de libérer la parole ». Créer une communauté de confiance aussi ouverte aux hommes permettrait d’avoir « plus de légitimité dans la sphère masculine ». Attention à la variation des cours Figure incontournable dans le paysage IT au Luxembourg, Marina Andrieu, co-fondatrice et directrice de l’initiative Women in Digital Empowerment (WIDE) avait déjà fait une première tentative d’investissement il y a quelques années. Finalement, c’est en 2022 qu’elle a réussi. Après avoir passé le cap de la « due diligence », elle a commencé par acheter de l’Ethereum « en me fixant un prix psychologique de 1.500 euros par Ether. J’ai attendu que ça descende sous ce chiffre », annonce-t-elle. « A chaque fois que je me suis fixé un prix, j’ai acheté à celui que j’ai visé ». Ayant « beaucoup suivi les fluctuations du marché », Marina a investi sur deux plateformes avec une application mobile. Elle dit avoir atteint ses objectifs d’investissement. Aujourd’hui, elle possède toujours ses Ether qui ont pris 20 % sur un an. « Ce qui est supérieur à la bourse et au livret d’épargne », remarque-t-elle. Sa leçon d’investisseuse ? Ne pas se laisser happer par les variations des cours. D’après elle, les cryptomonnaies sont une manière de diversifier ses investissements. « Cela permet de s’éduquer à prendre des risques dans une proportion modérée ». Compter là-dessus pour en faire une source de revenus complémentaire ou arrêter de travailler n’est pas une option sûre. De la monnaie virtuelle dans sa stratégie d’investissement oui. Mais à petite dose. De son côté, Thuy Gattaux, alias ArtT’huy, est venue « naturellement » aux cryptomonnaies. Avant de se lancer, l’artiste-peintre de 40 ans, entendait beaucoup parler des NFT. Elle a même écrit un article sur le sujet qui a été publié sur son blog. Elle y a partagé son expérience mêlant l’art et les jetons non-fongibles. « A partir d’un tableau, j’ai créé un NFT. J’ai expliqué pour comprendre le processus. A partir de là, j’ai été contactée par une grande entreprise au Grand-Duché qui m’a demandé de participer à une action solidaire pour l’association ukrainienne du Luxembourg. Ils voulaient organiser une vente aux enchères d’une œuvre physique et de son NFT », se souvient-elle. Par hasard, « ils ont trouvé une œuvre aux couleurs de l’Ukraine dans ma galerie ». En trois jours, l’artiste a créé le jeton non-fongible sur la fameuse plateforme OpenSea. C’est aussi le temps qu’elle a eu pour se constituer son porte-feuille. « Je me suis renseignée sur le Net. Quelqu’un m’a parlé d’OpenSea et je me suis lancée », raconte-elle. « Si c’est imposé, les femmes le feront » Comme les autres femmes interrogées dans cet article, elle a investi dans l’Ethereum. « Ce que j’ai trouvé épatant dans la blockchain, c’est de voir les transactions », dit-elle. Grâce à cette « belle expérience », elle a compris davantage la création des NFT et des cryptomonnaies. Bien sûr, ArtT’huy a eu d’autres monnaies dans son wallet mais les a revendues depuis. Cette expérience lui a aussi donné la possibilité de monter sa galerie virtuelle. Aujourd’hui, elle en a même deux ! Si elle a misé sur l’Ether, c’est parce qu’elle n’avait pas confiance dans le Bitcoin. Elle soutient avoir eu une opportunité pour investir et de « vivre une expérience dans le monde où l’on est ». Etre active dans le monde de la crypto est, d’une certaine manière, une façon d’entrer dans le Metaverse. ArtT’huy pense que les femmes ne prennent pas de risques. « Si c’est imposé par un gouvernement alors elles le feront ». Car s’il n’y a pas d’alternative, « on n’a pas le choix ». On y va. L’artiste est favorable à la

Agence NFT Luxembourg
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NFT Agency, la 1ere agence luxembourgeoise dédiée aux NFT’s

Un grand merci pour cet article : notre but est de diffuser la nouvelle technologie NFT au Luxembourg et bien au delà. Le NFT a des utilisations tellement diverses et utiles que pour nous c’est INDISPENSABLE de le diffuser. Lire l’article complet ici: https://chronicle.lu/category/innovation/42170-local-female-entrepreneurial-duo-launch-new-nft-agency

Thuy Gattaux - ArT'huy
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Exposition d’art à l’ambassade de Luxembourg

The Dutch Ambassador to Luxembourg, Cees Bansema, hosted the vernissage of the new “Garden Art Exhibition” of the Académie Européenne des Arts Grand-Duché de Luxembourg (AEA Luxembourg) at his official residence in Luxembourg-Kirchberg on Wednesday evening. Founded in 1998 as a non-profit organisation, AEA Luxembourg today counts about 65 active members. Each year, the academy organises several group exhibitions and courses for its members (about ten activities per year), as well as exchanges between the artists and with other art academies in Europe. Whilst the COVID-19 pandemic made event organisation difficult over the past couple of years, AEA Luxembourg has organised five activities so far this year. The Garden Art Exhibition represents a range of art works as diverse as the 21 artists behind them. These artists are currently based in Luxembourg and the Greater Region but originally come from all corners of the world, from near (Luxembourg, France and the Netherlands) to far (Vietnam, Cape Verde, India and Iran). Some have connections to Cyprus, Greece, Albania, Kosovo and Algeria. Bashkim Hazizaj, a Luxembourgish plastic artist of Albanian origin and Vice-President of AEA Luxembourg, explained that the artworks included in the exhibition reflected the lives and backgrounds of the artists. He added that the academy has different seats across Europe, including in Italy and France, bringing the total number of artists involved to about 80. Speaking to Chronicle.lu, Ambassador Cees Bansema said that it was “great to have such an international community in the garden”. He recalled that members of the public are welcome to visit the exhibition until Saturday 21 May 2022 inclusive. In addition to going on a guided tour of this outdoor exhibition, during which the artists presented their various artworks, Chronicle.lu had the opportunity to speak with some of the artists individually. Megha Goenka, who is originally from India but moved to Luxembourg in 2007, explained the inspiration behind her charcoal drawing of Merl-Belair Park. She had walked through the park many times whilst living in the area before finally drawing one particular scene of a bridge in 2019. She explained that most of her work is created from memory. This was also the case for her ceramic work which is also on display at the exhibition. Thuy Gattaux, a self-taught local artist of Vietnamese origin, presented her paintings, which she explained reflected her mood, tastes, inspirations and emotions. With this being her first outdoor exhibition, she found the concept “super” and unique. Indeed, many of the art works at the exhibition have been printed on waterproof canvases in case of rain. Ms Gattaux’s video art is also on display as part of this exhibition. Another local artist, Andrée Schwabe-Rochu, explained that her female-centred paintings were inspired by the “elegance, romanticism and gallantry” of the 1930s and 1940s. Her artworks focus on the gaze of these women, whose eyes are depicted without pupils, and are often characterised by a certain roundness and calmness. French artist Yves Géraud, alias Géronimo, presented his digital art, which he explained differed greatly from his earlier works. An artist with many interests and talents, Mr Géraud’s miniature work, including the smallest museum in the world, have made it into the Guinness Book of Records nine times. His current work leaves more to the imagination of the spectator. He will exhibit more of his recent works as part of an exhibition dedicated to Mick Jagger at Casino 2000 in Mondorf-les-Bains in July 2022. Luxembourgish painter Carmen Dieschbourg-Weber presented her work which combines figurative and abstract art. Many of her subjects are nude female figures, such as dancers. Having painted (oil and acrylic) for 45 years, this is Ms Dieschbourg-Weber’s first outdoor exhibition. Self-taught French painter Didier Staebler presented his oil paintings depicting a rooster and an owl, respectively, whilst Nelson Neves, a Luxembourgish painter of Cape Verdean origin explained how his colourful artworks depict daily life in Cape Verde, influenced by his experiences in the Grand Duchy. AEA Luxembourg President Egberdien Van Der Peijl presented her unique, human-centred artworks which are created from video frames. She explained that she looks at 1,000 frames (50 per second) before she can find the right light and movement for her pieces. Meanwhile, plastic artist Djamila Ouelhadj, who has thirteen years’ experience working with ceramics, explained how her unique pieces are often inspired by her own (chosen) exile and the experiences of women. One of the few collections on display inside at the Garden Art Exhibition, Ms Ouelhadj’s current works depict headless female figures, who have been silenced and are unable to think for themselves. Visitors will also find the travel-inspired work of Bashkim Hazizaj, a bright, calming triptych by Luxembourgish painter André Jeitz, Cape Verdean artist Maria Morais Gomes’ painted depictions of journeys, movement and balance, combining her experiences in Cape Verde, Portugal and Luxembourg, the contemporary marquetry of Alain Claude, who draws on his personal experiences, Kosovan painter Gzim Behrami, whose unique ornamental works are inspired by Albanian popular culture, Alessio Ginsburg’s light acrylic paintings which are neither 100% abstract nor 100% figurative, French artist Micelle Lallemand’s modern art, including a piece inspired by the war in Ukraine, the metal animal-inspired sculptures of Orhan Rashtana, the diverse artworks of Luxembourgish painter-sculptor Mathilde “Tilly” Wengler-Haan and the colourful fine art works of self-taught Cypriot painter Stelios ΣΤΕΛΙΟΣ, among others. Among the guests at the vernissage were representatives of the various embassies in Luxembourg of the countries of origin of the featured artists, namely the Ambassador of the Kingdom of Belgium, the Ambassador of Greece, the Honorary Consul of Albania and a Representative of the Embassy of Cape Verde. Also present were Dr Sana Nouzri and guest researcher Yolanda Spinola who are working on a project combining artificial intelligence (AI) and art at the University of Luxembourg. Featured artists: Bashkim Hazizaj; Gzim Behrami; Alain Claude; Carmen Dieschbourg-Weber; Thuy Gattaux; Alessio Ginsburg; Yves Géraud, alias Géronimo; Megha Goenka; André Jeitz; Michèle Lallemand; Maria Morais Gomes; Nelson Neves; Djamila Ouelhadj; Ohran Rashtana; Andrée Schwabe-Rochu; Anooshe Shafie Poor; Didier Staebler; Stelios ΣΤΕΛΙΟΣ; Mikel Trako; Egberdien Van Der Peijl, Tilly Wengler-Haan. The exhibition remains open to the public free of charge until Saturday 21 May 2022 inclusive. The art works are currently on display

Metaverse Luxembourg
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Invitation – Metaverse : Beyond the Hype

Chers lecteurs/clients, La société PWC organise l’événement « Metaverse : Beyond the Hype », le 11 mai dans ses locaux au Luxembourg. En marge de cet événement, la société organise une vente aux enchères au profit de l’association « LUkraine ASBL » car nous sommes tous aux côtés du peuple ukrainien dans ces temps difficiles. Cette vente aux enchères vous donnera l’opportunité d’acquérir une œuvre d’art physique et numérique (NFT) appelée « Ukraine » (Dimension : 50×70 cm) créée par ArThuy. La vente aux enchères se déroulera volontairement sous la surveillance d’un huissier de l’étude d’huissier Carlos Calvo à Luxembourg, à la fin de l’événement. J’espère que vous réserverez un accueil chaleureux à cette initiative faite à la fois pour vous permettre de découvrir l’écosystème NFT et de servir une association.

Thuy Artiste peintre Luxembourgeois
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Je rejoins A.E.A. Académie Européenne des Arts Grand-Duché de Luxembourg

C’est avec un immense plaisir que je rejoins l’Académie Européenne des Arts Grand-Duché de Luxembourg (A.E.A.). L’Académie a été fondée en 1998 en tant qu’association sans but lucratif.  Enregistré au Registre de Commerce et des Sociétés de Luxembourg, l’académie compte aujourd’hui 65 membres actifs. L’institut regroupe les artistes les plus connus du Luxembourg avec des peintres, sculpteurs, comédiens, dessinateurs pour en citer quelques-uns.  L’AEA organise des expositions en groupe pour ses membres, des cours en différentes techniques et est en contact avec d’autres Académies en Europe. Vous pouvez visiter le site de l’Académie ici.  

ArT'huy - Aide au Vietnam
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Aide au Vietnam

ArT’huy vient en aide aux familles les plus impactées par le confinement et au Covid-19 au Vietnam. Ce projet de aideauvietnam.org est de nature urgente.